Chères amies et chers amis locataires,
Tout va pour le mieux désormais rue
Championnet après les turbulences difficiles que nous avons connues. Notre
nouveau bailleur Gerer s’est engagé formellement à faire ce que Gecina ne
faisait pas ou plus depuis longtemps.
Néanmoins, une petite minorité de
locataires ont jugé utile de faire quelques réflexions sur la gestion de notre
résidence. Pour autant que nous en soyons informés, ces remarques ne reposent sur
aucun fondement sérieux et relèvent uniquement de conclusions hâtives, de faits
mal analysés ni vérifiés, et d’une évidente méconnaissance des
responsabilités de chacun. Au contraire de ce que peuvent penser quelques
rares locataires du 234, le métier de gardien(s) est un vrai métier…
difficile et très astreignant avec ses difficultés physiques et relationnelles
et aussi ses limites. Un métier et des personnes qu’il faut respecter, car quand
de nouveaux gardiens découvrent une résidence comme la nôtre avec sa complexité
et sa population hétérogène - c’est le moins que l’on puisse dire - ils doivent
faire face le plus rapidement possible à toutes sortes de problèmes en
s’appuyant sur l’emploi du temps spécifié par le cahier des charges du
bailleur.
On sait tous
parfaitement que débuter dans une entreprise de 550 personnes impose d’y faire
sa place et les débuts sont souvent difficiles. Il nous arrive à tous de faire
des erreurs ou de réagir parfois de façon inappropriée. Il faut laisser le
temps au temps et s’interdire de part et d’autre des réactions disproportionnées.
GERER, notre nouveau bailleur, est à priori le seul responsable pour ce
qui est des problèmes administratifs ou techniques, et il se doit de réagir
rapidement aux demandes d’intervention pour ne pas mettre nos gardiens en
défaut.
Maintenant, si certaines ou certains d’entre vous jugent rencontrer des problèmes
personnels ou constatent des dysfonctionnements « réels » et
« nouveaux » par rapport au passé… l’association du 234, dont
ce n’est pas le but originel, est tout à fait disposée à servir de tampon
et de médiatrice avant d’aller vers des embarras inutiles. Pour ce faire, il
est impératif que ces personnes « insatisfaites » nous fassent savoir
ouvertement et nominativement, leurs récriminations sans répandre des bruits
incontrôlables, voire ingérables, car nous ne voulons pas que quelques cas
personnels viennent mettre une ambiance désagréable qui n’a pas lieu d’être.
Un peu de retenue, de
mesure et de compréhension serait souhaitable, et à priori, une simple
explication et quelques mises au point devraient suffire.
Bref… On se calme et nous allons
faire le nécessaire pour que tout fonctionne au mieux au 234 avec la complicité
active de madame Fougeron et de monsieur Daimé… et de leurs deux fillettes
adorables.
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