Vous êtes toutes et tous comme nous, à priori, des locataires inquiets (mais pas trop quand même comme disait une amie experte lors de notre première réunion).
L'un d'entre nous a parfaitement résumé la situation actuelle et le ressenti des habitants de notre résidence, bien qu'il ne soit pas un « ancien » ... comme le sont beaucoup de nos amis et amies du 234.
Il nous a dit : « - A 35 ans, marié avec petits enfants, j'ai délibérément fait le choix de la location (circonstances et défauts de moyens à la clé) et je me suis installé dans ce quartier il y a 10 ans, dans un environnement que nous adorons et que nous ne voulons quitter à aucun prix. Toute ma vie est ici dans mon appartement ; mon histoire familiale, mes souvenirs, mes habitudes. Ma mère habite là aussi, juste à côté de ma petite famille. Les écoles de mes enfants sont proches, les lycées du coin les attendent. Il y a, tout autour de nous, profusion de parcs/jardins et aussi un ministade sympa dans la rue, deux églises, des toubibs et des hôpitaux à foison. Il y a des dizaines de commerçants, de cafés-tabacs, de restaurants, des librairies, des pharmacies, des grandes surfaces, des banques aussi et.... les meilleurs transports parisiens pour aller en centre-ville : les bus 31, 60, 80, 81, 95 et la ligne de métro 13 (juste un peu trop « relou » le matin et le soir). La mairie est là, toute proche et aussi les Abbesses, Montmartre, les puces de St-Ouen, le quartier des Batignolles, etc. etc. Ah oui, j'oubliais le principal, mon boulot est à deux pas, et pour sortir le soir, il y a foultitude de cinémas et de spectacles ... et l'animation de la place Clichy »
Il a conclut en disant : « - Moi, ce que je désire le plus au monde, c’est de ne pas bouger !... ou alors que Gecina me (nous) reloge dans le coin ou pas loin, dans 6 ans ou avant, au même standing et au même prix »
Ces quelques mots, vous l'admettrez, résume parfaitement ce pourquoi nous avons voulu créer notre association : prendre en quelque sorte les devants devant l’adversité.
C'est fait... et puis, on peut toujours rêver les amis !
L'un d'entre nous a parfaitement résumé la situation actuelle et le ressenti des habitants de notre résidence, bien qu'il ne soit pas un « ancien » ... comme le sont beaucoup de nos amis et amies du 234.
Il nous a dit : « - A 35 ans, marié avec petits enfants, j'ai délibérément fait le choix de la location (circonstances et défauts de moyens à la clé) et je me suis installé dans ce quartier il y a 10 ans, dans un environnement que nous adorons et que nous ne voulons quitter à aucun prix. Toute ma vie est ici dans mon appartement ; mon histoire familiale, mes souvenirs, mes habitudes. Ma mère habite là aussi, juste à côté de ma petite famille. Les écoles de mes enfants sont proches, les lycées du coin les attendent. Il y a, tout autour de nous, profusion de parcs/jardins et aussi un ministade sympa dans la rue, deux églises, des toubibs et des hôpitaux à foison. Il y a des dizaines de commerçants, de cafés-tabacs, de restaurants, des librairies, des pharmacies, des grandes surfaces, des banques aussi et.... les meilleurs transports parisiens pour aller en centre-ville : les bus 31, 60, 80, 81, 95 et la ligne de métro 13 (juste un peu trop « relou » le matin et le soir). La mairie est là, toute proche et aussi les Abbesses, Montmartre, les puces de St-Ouen, le quartier des Batignolles, etc. etc. Ah oui, j'oubliais le principal, mon boulot est à deux pas, et pour sortir le soir, il y a foultitude de cinémas et de spectacles ... et l'animation de la place Clichy »
Il a conclut en disant : « - Moi, ce que je désire le plus au monde, c’est de ne pas bouger !... ou alors que Gecina me (nous) reloge dans le coin ou pas loin, dans 6 ans ou avant, au même standing et au même prix »
Ces quelques mots, vous l'admettrez, résume parfaitement ce pourquoi nous avons voulu créer notre association : prendre en quelque sorte les devants devant l’adversité.
C'est fait... et puis, on peut toujours rêver les amis !
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